12 janvier 2007

MASQUE

Terre – eau – feu. Un maquillage d’argile mouillée cuit sous les cendres.
Le soleil réchauffe le crâne du vieux clown blanc collé au mur.
Un discret sentiment de rose sinue dans ses naseaux de terre cuite
mais ses oreilles obstruées par les jeunes feuilles ne captent aucun son.
La lumière projetée s’engouffre dans la fosse sans fond du regard.

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Quoi ou qui se cache deriere le regard noir des masques, le reflet de nos coeurs, notre misère, nos détresses et surement notre mystère !

8:44 PM  

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