21 juin 2006

la vie

La vie pour eux n’est pas aussi tendre que leur chair.
Les bœufs ont, très jeunes, perdu une part importante de leur personnalité.
Leur piercing n’est pas une coquetterie ; ils sont marqués à mort,
coincés à l’intérieur de la prairie avec encore toujours le blues.

3 Comments:

Blogger beouf le boeuf said...

A droite - à gauche, en fait - je crois reconnaître tante Agathe, tronçonnée en barquettes label rouge, cet hiver, sur les étals d'une grande surface...
Ducasse l'ait et pétasse son âme !

8:17 PM  
Blogger éléa Lebonvallet said...

je trouve cette photo très drôle.
bravo

11:33 AM  
Blogger Lucien Suel said...

Merci Stéphane.
Stéphane ?

11:43 AM  

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